FC Schwarzer Berg

avec 8 éléments de travail

La fonction principale du FC "Schwarzer Berg" est d'harmoniser tous les aspects de la vie et d'augmenter l'énergie humaine. Il contribue à la réalisation des souhaits.

Aide à augmenter le niveau d'énergie général de l'homme ;
Aide à éveiller la véritable conscience masculine « Je suis un homme » ;
Aide à la maturation psychologique et à la renaissance d'un garçon en homme, même à l'âge adulte ;
Élimine les complexes psychologiques et les obstacles liés à la fixation et à la réalisation d'objectifs ;
Harmonise la sphère sexuelle, augmente le niveau d'énergie et d'activité sexuelle chez l'homme ;
Aide l'homme à trouver et à réaliser sa mission de vie ;
Favorise l'harmonisation des différents aspects de la vie : travail, vie personnelle, loisirs, etc. ;
Contribue à la réalisation des souhaits.

Sur le FC est stockée l'information du "lieu de force" situé au sommet de la Montagne Noire dans le désert de Gobi (Mongolie).

Temps nécessaire à la structuration de l'eau : 15 secondes.

Le Mont Noir, le plus célèbre sommet du désert de Gobi, se situe dans l'aimag d'Ostgobi en Mongolie, à une altitude de 1031,9 m au-dessus du niveau de la mer, à 23 km au nord-ouest du monastère de Hamarin-Khid. Le nom véritable du Mont Noir et de son maître spirituel – le Cœur Riche, Bayanzurkh – est lié à sa propriété particulière de réaliser les vœux de ceux qui le vénèrent. D'où son autre surnom : le Joyau exauceur de vœux. Les Mongols ont des traditions ancestrales de vénération et d'offrandes aux montagnes auxquelles ils confient leurs souhaits. Les lamas ne se rassemblent que lors des cérémonies d'offrandes aux montagnes, se purifient et récitent des prières. Ce « lieu de force » est un lieu de pèlerinage pour des personnes du monde entier ! La visite de ce lieu unique est comme une rencontre avec l'énergie illimitée, toute-puissante et infinie de l'univers.

Des centaines de personnes, dont de jeunes enfants, gravissent chaque jour le sommet du Bayanzurkh – la Montagne Noire, la « montagne des vœux » – et le chemin est un éboulis constant, rendant la marche dangereuse ! Là, elles écrivent leurs vœux sur du papier puis les brûlent. Apparemment, pour leur donner l’occasion de réfléchir à leurs souhaits. Les femmes n’ont pas le droit de monter sur la montagne ; elles prient et formulent leurs vœux au pied du Bayanzurkh.